Prit dans le tourbillon de l'amourDu premier jourPrit dans une relationDoublé de passion, On ne connaît Que la paixEt la facilité, On ne connaîtQue la pureté Des carresses et de la tendresse, La puretéDe la douceurEt du bonheur.Prit dans une histoiteExaltanteEt dévoranteOn se laisse choirDans le désirEt la plaisirDe ne faire qu'unDe n'être qu'un.
Les déclarations d'amour pour toujours ne sont jamais ridicules quand elles s'accompagnent d'émeraudes. 
Je t’aime c’est un fait Je t’aime à jamais Mais tu ne le sais pas Tu ignores tout de moi Je connais toute ta vie Tout de toi , de tes amis Je te regardais en vain Pour que un jour tu me parles Mais je ne t’intéresse pas Tu ne me regardes même pas Pourtant j’ai tout essayé Mais rien n’a vraiment marché

Aimer la vie jusqu’à supplier la mortAimer à vie, aimer à tortAimer pour ne rien recevoirAimer jusqu’au dernier regardUn souffle qui passe
Comme l’eau claire de tes sentiments Mes mots se sauvent en riant Perles de pensées forment des tresses Et tes baisers mes rêves de fées

L’amour se vit et se construit Il vampirise mais ne détruit Il se dérobe et puis s’attache Il se fait rare et pourtant Il est si présent Dans chacun de nos gestes De nos pensées
Se voir le plus possible et s’aimer seulement,Sans ruse et sans détours, sans honte ni mensonge,Sans qu’un désir nous trompe, ou qu’un remords nous ronge,Vivre à deux et donner son coeur à tout moment ; Respecter sa pensée aussi loin qu’on y plonge, Faire de son amour un jour au lieu d’un songe, Et dans cette clarté respirer librement Ainsi respirait Laure et chantait son amant. Vous dont chaque pas touche à la grâce suprême,C’est vous, la tête en fleurs, qu’on croirait sans souci, C’est vous qui me disiez qu’il faut aimer ainsi. Et c’est moi, vieil enfant du doute et du blasphème, Qui vous écoute, et pense, et vous réponds ceci : Oui, l’on vit autrement, mais c’est ainsi qu’on aime.
merci de ton amitié
que ta soirée soit douce
que ta nuit soit étoilée
Au nom de l'amour,J'ai tant donné que j'en souffre toujours,Au nom de l'amitié,J'ai tant cherché que cette fois j'ai trouvé,Alors je ne peux m'empêcher,Que d'aimer ce mot Amitié!!
Dans l’obscurité, un homme, une femme,A la seule lueur d’une flamme…Un bel instant de tendresse,Où se mêlent silence et caresses…Lorsque, soudainement, les gestes s’affolent,Dans ce monde toujours sans paroles…Les lèvres se rapprochent doucement,Se touchent et se séparent furtivement…Enfin, un long baiser brûlant,Et l’atmosphère se fait volcan…Les corps brûlants s’enflamment,De ses bras, l’homme serre la femme,Et les membres s’entrelacent,Ne laissant plus aucune placeA la moindre petite bulle d’air…Il n’y a plus de repères,Et les âmes s’envolent au paradis,Tandis que les corps restent dans la nuit…Puis, le moment magique et sans finOù les êtres ne forment plus qu’un…Les secondes se perdent dans le tempsLes corps s’enlacent profondément,Jusqu’à la phase finale,Où le monde devient l’extase totale…Elle l’aime encoreMalgré son coeurDe tout son corpsAnti-bonheur

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieilleLorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,Nous nous croirons encor de jeunes amoureux;Et je te sourirai tout en branlant la tête,Et nous ferons un couple adorable de vieux.Nous nous regarderons assis sous notre treille,Avec de petits yeux attendris et brillants,Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.Sur notre banc ami, tout verdâtre de mousse,Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.Nous aurons une joie attendrie et très douce,La phrase finissant souvent par un baiser.Combien de fois jadis j'ai pu dire : "Je t'aime!"Alors avec grand soin nous le recompterons:Nous nous ressouviendrons de mille choses, mêmeDe petits riens exquis dont nous radoterons.Un rayon descendra, d'une caresse douce,Parmi nos cheveux blancs, tout rose se poser,Quand sur notre vieux banc, tout verdâtre de mousse,Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.Et comme chaque jour je t'aime davantage,Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain,Qu'importeront alors les rides du visage?Mon amour se fera plus grave et plus serein.Songe que tous les jours des souvenirs s'entassent;Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens:Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacentEt sans cesse entre nous tissent d'autres liens.C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge,Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,Car vois-tu, chaque jour je t'aime davantage,Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain.Et de ce cher amour qui passe comme un rêveJe veux tout conserver dans le fond de mon coeur:Retenir, s'il se peut, l'impression trop brèvePour la ressavourer plus tard avec lenteur.J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare,Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours:Je serai riche alors d'une richesse rare:J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours!Ainsi de ce passé de bonheur qui s'achèveMa mémoire parfois me rendra la douceur;Et de ce cher amour qui passe comme un rêveJ'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,Nous nous croirons encore aux jours heureux d'antan,Et je te sourirai tout en branlant la tête,Et tu me parleras d'amour en chevrotant.Nous nous regarderons, assis sous notre treille Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs